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Mes cousins...

 

  the blue rabbit icone

 

el conejo azul icone

27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 14:28

 

Lapinbleu646C-Jn14 28

Curieuse parole: "je m'en vais et je reviens vers vous"

Jésus la dit la veille de sa Passion. Les disciples ne la comprennent pas.

Jésus parle évidemment de sa mort et de sa résurrection.

 

Sur le dessin, on dirait que c'est une devinette et que les disciples cherchent la réponse.

Seulement, Jésus ne prend pas ceci à la rigolade. Et moi, comment est- ce que je réagis quand je dis quelque chose de sérieux, ou que je me livre en profondeur et que de l'autre côté, on prend ma parole à la légère ou à la rigolade ?

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 14:09

Lapinbleu662C-Jn14 9

-Le plus grand désir de tout être humain, c'est de voir Dieu.

C'est ce que l'apôtre Philippe demande à Jésus "montre-nous le Père et cela nous suffit."

Jésus est l'image du Père. En écoutant Jésus, on entend le Père. En regardant vivre Jésus, on voit le Père. En voyant Jésus s'offrir sur la croix, on voit l'offrande du Père.

-Sur ce dessin, les lunettes représentent la foi. Snas la foi, on ne peut reconnaître la Trinité.

-Le lapin, c'est Jésus. La Lumière dans le verre de gauche, c'est le Père invisible. La monture des lunettes qui unit les deux verres, c'est le Saint Esprit (d'ailleurs c'est écrit "spirit" au milieu des deux verres et la couleur rouge symbolise l'amour qui unit le Père et le Fils).

-Jésus tend les lunettes de notre côté, comme si on était prêt  les mettre. La foi est un cadeau qui vient de lui.

 

-En quoi ai-je vu l'oeuvre du Père dans ma vie ?

-Pour moi, ai-je les mêmes sentiments, la même relation, quand je prie Jésus ou quand je prie le Père ?

-Si ce n'est pas le cas, que me révèle ce dessin ?

.

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 14:06

Lapinbleu634C-Jn14 6

 

-Jésus est le personnage de gauche. Il encourage et accueille.

-C'est le roc. Il est sur un rocher. L'autre lapin est sur de la terre.

-Il a une longueur d'avance. Il est le Chemin.

-Il est LE chemin (pas un chemin), LA vérité (pas une vérité) et LA vie (pas une vie). Il n'y en a pas d'autre.

-Il y a plusieurs couleurs dans le texte.

   "LE chemin" est bleu; c'est le chemin du Ciel.

   "LA vérité" est jaune soleil, elle brille dans les ténèbres.

   "LA vie" est rouge, couleur sang qui circule et se renouvelle dans les veines.

-Le randonneur est un peu paumé. Il ne se fie qu'en son GPS.

 

Et moi ?

Est-ce que je sais accepter la main tendue par Dieu ?

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 14:03

Lapinbleu661C-Jn14 3

 

-On voit les stigmates sur le lapin (les trous dans les mains et les pieds, la marque de la Passion du Christ sur la croix)

-C'est parce qu'il est mort pour nous que nous pouvons nous rapprocher de lui.

-Ce dessin ne VEUT PAS DIRE que Dieu nous rappelle à lui quand ça lui chante, pour nous faire souffrir, mais qu'il nous cueille quand nous sommes mûrs, c'est-à-dire peut-être au meilleur moment. St Pierre nous dit dans son épitre que "Dieu patiente" pour que nous ayions "le temps de nous convertir"

-Ici, le lapin (qui représente Jésus) est passif. Il regarde. Il attend que ça bouge.

-Et si on regardait le passage (la mort) avec ce regard-là ?

 

Peut-être qu'on en voudrait moins à Dieu ?

Peut-être qu'on ne lui reprocherait pas de nouss "avoir pris" celui qu'on aime.

C'est un peu comme si je sauvais quelqu'un d'une noyade et qu'on me le reprocherait.

  

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 13:35

Lapinbleu658C-Jn13 35

 

-Normalement, il n'est pas besoin de commenter ce verset; on reconnaît le disciple de Jésus à son amour pour les autres. Evidemment, ce n'est pas spécifique au chrétien, n'importe qui peut aimer son prochain, par contre, pour le chrétien, c'est de l'ordre du devoir.

-Là, on voit un lapin bleu s'élancer à l'aide du lapin âgé qui s'est pris une bûche.

-En arrière-fond, il y a un lapin noir, un vert et un jaune (symboles de l'universalité), plus ou moins indifférents à ce qu'il vient de se passer. Ils ont la même posture. Ils sont témoins de l'action du lapin bleu.

-Si je vois quelqu'un agir avec un tel empressement, ça ne pourra que me faire réfléchir à "pourquoi" il le fait, si la personne secourue est inconnue de lui.

 

A moi de jouer !

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 13:34

Lapinbleu657C-Jn13 34

 

Ce dessin est la suite de celui-ci. (Le chrétien a exactement la posture de Jésus, il cherche à l'imiter)

-Il a voulu aimer son prochain comme Dieu, et plonger à son secours. BOUM.

-L'amour du prochain se fait dans les petits détails, comme ramasser une fourchette.

-L'empressement à servir est bien manisfesté dans la posture de ce chrétien.

-Mais... ne jamais oublier le discernement, ne pas foncer tête baissée...

 

Est-ce que mon amour pour le prochain se manifeste dans les petites choses ?

 

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 13:21

 

Lapinbleu642C-Jn13 21

-Ce dessin est une idée reprise du dessinateur Sean O'Brien.

-J'ai voulu la reprendre autour du thème de la pédophilie de certains prêtres, même si le dessin n'est pas explicite en lui-même.

-Jésus est livré. Il est empaqueté dans un carton est transporté sur un... diable ! Il est accueilli par un prêtre en vêtements sacerdotaux (signe de l'autorité qu'il a reçue de Dieu et qu'il utilise à mauvais escient).

-L'intérieur de la maison du prêtre est noire, alors que son extérieur est blanc et propre.

-Le mal qu'il a pu faire aux petits, c'est à Jésus qu'il l'a fait également. Sur ce dessin, Jésus prend la place de la victime, du faible, du petit.

-La pédophilie des prêtres en concerne environ 3 sur 1000. C'est peu mais toujours trois de trop ! Benoît XVI a courageusement pris cette réalité au sérieux dans l'Eglise, sans la minimiser.

-Sur ce sujet, moi qui suis prêtre, je suis scandalisé, comme bien d'autres personnes, sur le fait qu'un prêtre puisse en arriver là. Ca me déçoit et me désole profondément.

 

L'Eglise est faite de tout, et comme corps, c'est aux uns de porter le poids des fautes des autres. Là-dedans, je ne me considère pas comme le juste, le bon et le gentil. Il y a aussi bien de mes faiblesses, fautes, lâchetés, bien que ce soit à moi de les assumer, qui ont des conséquences sur les autres membres de l'Eglise.

 

Alors où en suis-je dans ce constat ?

Est-ce que le scandale de pédophilie chez les prêtres va me faire tout lâcher, dans l'Eglise ?

Si oui, qu'est-ce que je cherche réellement dans l'Eglise ? Qu'est-ce que j'attends d'elle ?

Si non, qu'est-ce qui me fait tenir ? Quelle est mon espérance ?

 

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 13:08

Lapinbleu655C-Jn13 8

 

-C'est Saint Pierre qui prononce cette phrase. Il refuse que le maître s'abaisse devant lui.

-Sur ce dessin, j'ai exagéré cette impression de refus en le séparant physiquement de Jésus et en ne mettant que ces deux personnages dans la pièce.

-Il est sur des échasses. Ca montre que Jésus ne peut pas s'abaisser plus. L'écart se fait du fait que Pierre s'élève. Plus je m'élève, moins je trouverai Dieu qui est à la dernière place.

-Il est dans un coin de la pièce, comme traqué. Son attitude est une impasse.

-La pièce est vide, la porte fermée: c'est le passage obligé, se laisser laver les pieds (et le coeur) par Jésus. 

-Les quelques objets sur la fenêtre sont une plante verte (la vie) et une cruche (de quoi puiser pour vivre). La plante pousse toute seule (c'est la grâce donnée par Dieu) et la cruche, ce sont nos efforts. Il faut l'un et l'autre.

-Jésus est impuissant devant le refus et l'éloignement de Pierre.

 

Et avec moi, quand est-ce que Jésus ne peut plus rien ?

Quelle est alors mon attitude ?

   

 

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 13:01

 

Lapinbleu654C-Jn13 1

 

-Le lapin bleu avec son auréole en forme de croix représente le Christ.

-Il regarde la terre de haut, prêt à plonger (en grec, le mot baptiser à un rapport avec le fait d'être plongé, immergé)

-Sur la terre, ce ne sont que confilts et guerres. La variété des armes montre qu'il y a la totalité de l'humanité représentée, du marteau préhistorique jusqu'aux missiles et à la bombe atomique.

-Jésus est résolu de plonger au milieu de tout cela. Il va descendre, prendre la condition des hommes alors qu'il est Dieu, s'humilier, s'abaisser. On appelle ceci la "kènose".

 

Et moi, à quel moment est-ce que je décide d'agir ? Quand c'est trop tard ? Avant, après ?

Jusqu'où suis-je prêt à m'investir ?

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27 décembre 2000 3 27 /12 /décembre /2000 12:15

Lapinbleu635C-Jn12 15

 

-Le lapin gris est soudain enveloppé par les ténèbres. Le voilà aveuglé.

-Le lapin cuisinier du fond a perdu sa crêpe (moi, je sais où elle est.) Il cherche au plafond, dans sa poêle et par terre.

On pourrait regarder "par terre" comme mon passé, "dans la poêle" comme mon présent et "au plafond" comme mon avenir. Si la crêpe représente le soleil de la Révélation (à la chandeleur, on fait des crêpes pour ça, parce que c'est la fête de la lumière), le cuisinier cherche Dieu partout sauf... dans le prochain.

Et le lapin gris, lui, est aveuglé par la Révélation. Maintenant qu'il "voit le soleil", il a perdu ses repères et il tâtonne.

Fialement, à première vue, on pensait que celui qui avait la crêpe sur la tête était dans les ténèbres... Pas si sûr...

 

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